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LA FORMATION D’UNE EGLISE LOCALE AU CAMEROUN – LE CAS DES COMMUNAUTÉS BAPTISTES (1841-1949)

27 000 CFA

C’est à Bonamikengué, dans la banlieue de Douala, qu’est née la première communauté chrétienne du Cameroun, appelée Bethel. C’est dans cette localité qu’est également né Samuel D. Johnson, l’auteur de cet ouvrage qui traite de la naissance et du développement des communautés baptistes au Cameroun. Dans cette étude, à la fois historique et théologique, l’auteur nous présente les acteurs qui ont œuvré au processus de formation de cette Église. D’abord les quatre sociétés missionnaires venues d’Europe : la Baptist Missionary Society (BMS) de Londres ; la Mission de Bâle (MB) ; la Mission Baptiste de Berlin (MBB) et la Société des Missions Évangéliques de Paris (SMEP). À cet apport missionnaire de l’extérieur s’est ajouté celui, décisif, des Camerounais eux-mêmes en vue de l’évangélisation de leur pays.

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C’est à Bonamikengué, dans la banlieue de Douala, qu’est née la première communauté chrétienne du Cameroun, appelée Bethel. C’est dans cette localité qu’est également né Samuel D. Johnson, l’auteur de cet ouvrage qui traite de la naissance et du développement des communautés baptistes au Cameroun. Dans cette étude, à la fois historique et théologique, l’auteur nous présente les acteurs qui ont œuvré au processus de formation de cette Église. D’abord les quatre sociétés missionnaires venues d’Europe : la Baptist Missionary Society (BMS) de Londres ; la Mission de Bâle (MB) ; la Mission Baptiste de Berlin (MBB) et la Société des Missions Évangéliques de Paris (SMEP). À cet apport missionnaire de l’extérieur s’est ajouté celui, décisif, des Camerounais eux-mêmes en vue de l’évangélisation de leur pays.

L’histoire étudiée commence en 1841 et s’achève avec la mise en place de l’Église baptiste autochtone, la Native Baptist Church (NBC), en 1949. Entre ces deux dates s’est opéré un travail qui a mêlé missionnaires et autochtones et qualifié par Samuel D. Johnson de « joint-venture ». Cette rencontre est examinée avec soin dans les périodes précoloniale et coloniale. L’auteur, écrit Théodor Ahrens dans la préface, se demande quelles étaient les motivations qui ont conduit les sociétés missionnaires de Grande-Bretagne, d’Allemagne, de Suisse et de France ainsi que leurs missionnaires à aller au Cameroun ? De quel milieu venaient ces missionnaires ? Quels intérêts les guidaient ? Les stratégies d’évangélisation des sociétés missionnaires et des missionnaires blancs sont examinées en détail à la lumière des différents fonds d’archives.

L’ouvrage cherche à montrer ce qu’a signifié le christianisme pour ceux qui se le sont approprié comme pour ceux qui l’ont rejeté. Quels étaient dans ces processus divers et éclectiques les leaders d’opinion et les décideurs ? Quelles étaient leurs raisons de s’associer au christianisme et comment l’ont-ils compris et interprété ? Quels bouleversements le christianisme a-t-il produits chez ceux qui l’ont adopté et comment les autochtones ont-ils essayé de s’en accommoder ?

Langue

Francais

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